NOTRE PROGRAMME
Pour une université solide et solidaire.
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Renforcer le rôle des facultés en intégrant les doyennes-vice-présidentes et doyens-vice-présidents à l'équipe présidentielle pour participer pleinement aux choix et arbitrages de la gouvernance, comme les autres vice-présidentes et vice-présidents, élus par le Conseil d’Administration.
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Constituer une équipe de gouvernance d’une vingtaine de membres, comme dans les universités de taille similaire, pour défendre et porter des orientations stratégiques en prise avec le terrain et maintenir une relation de proximité pour répondre aux enjeux du quotidien.
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Retrouver un dialogue direct, à l’image des autres universités françaises et des ex UPMC et Université Paris-Sorbonne, entre la présidence et l’ensemble des composantes (UFR, écoles, unités de recherche, départements de formation). Cette proximité est essentielle pour aligner la stratégie et le quotidien, comme l'ont souligné les réunions tenues durant ce mandat.
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Définir, avec les assemblées provisoires représentatives de tous les élus du Conseil Académique (CAC), la composition et les prérogatives des conseils facultaires en cohérence avec les spécificités et les besoins des composantes et des services de chaque faculté.
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Faire des conseils facultaires le lieu de la reconnexion entre les instances centrales et les UFR, les unités de recherche, les départements de formation… pour préparer les délibérations des instances et opérer leur mise en œuvre.
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Proposer qu’y siègent des membres élus des instances centrales de tous les collèges, et des membres élus des directions de structures de formation et de recherche (UFR, écoles, unités de recherche, département de formation …).
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Garantir la dynamique démocratique et l'autonomie des instances centrales (CA, CR, CFVU) pour assurer le débat contradictoire en limitant la présence de membres de l'équipe présidentielle parmi les élus (hors VP statutaires : VP CA, VP CFVU et VP CR).
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Mettre en œuvre les propositions du projet d’établissement concernant la déconcentration, la subsidiarité, la différenciation et la place des composantes (cf. Partie 1 - Trajectoires et orientations stratégiques - Pages 11-18 - Projet d'établissement 2025-2029).
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Déconcentrer la prise de décision en appliquant le principe de subsidiarité, afin de restituer leurs prérogatives aux composantes (UFR, écoles, etc.) pour une meilleure efficacité de l'action de terrain.
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Garantir que, au sein de tout regroupement (faculté), les composantes (UFR, écoles, instituts) conservent intégralement leur autonomie, leurs spécificités statutaires et leurs régimes financiers distincts, y compris le budget propre intégré pour les entités qui en bénéficient (L. 719-5) (cf. « Le regroupement de composantes universitaires au sens de l'article L. 713-1 du code de l'éducation Fiche repères, parangonnage et prospective », page 3).
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Clarifier les chaînes de décision et de mise en œuvre en prenant en compte les éventuelles dualités hiérarchiques, les doublons, pour réinstaller une organisation où chacun se sent acteur, et où les initiatives sont encouragées dans une atmosphère de confiance et de sérénité retrouvées.
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Repenser les commissions ad hoc pour éviter les redondances, garantir leur légitimité et mettre fin à la multiplication de pré-arbitrages qui favorisent le clientélisme plus que la collégialité réelle.
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Rendre systématiquement publiques les missions, les critères de désignation et les décisions de chaque commission à tous les niveaux, afin que chacun et chacune puisse comprendre leur rôle et leur impact.
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Consolider l'assemblée des élus étudiants et son implication dans la vie de l’établissement.
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Créer une assemblée des personnels BIATSS.
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Étudier la possibilité d’accélérer le traitement des signalements en installant des F3SCT (Formation Spécialisée en matière de Santé, de Sécurité et de Conditions de Travail) de site.
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Garantir que chacun et chacune dispose des mêmes informations grâce à une diffusion des mêmes notes de cadrage, des directives et des procès-verbaux à l’ensemble des acteurs concernés.
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Consolider la position de l'INSPE en tant que structure transversale de l'université, en renforçant ses liens et ses collaborations avec les différentes UFR et pour une meilleure visibilité à l’extérieur.
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Poursuivre avec le CNRS les discussions sur les missions et le positionnement des stations marines.
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Améliorer l’articulation de Polytech Sorbonne avec les UFR de la faculté des sciences et ingénierie.
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Harmoniser et rendre cohérentes et lisibles les procédures RH (recrutement, promotion, avancements) pour plus de transparence et développer la trajectoire de carrière (accueil, mentorat, formation) pour renforcer notre attractivité et permettre aux personnels de se projeter sur un temps long dans notre établissement (maintenir les CDD à 3 ans par défaut pour les contractuels BIATSS).
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Assurer un retour sur les dossiers des candidates et des candidats à toute procédure de recrutement, d’avancement et de promotions.
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Inciter les personnels (scientifiques et administratifs) à s’inscrire dans l’école des cadres (mutualisée au niveau de UDICE) pour se former au management de proximité, au suivi RH et à la prise de responsabilité.
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Renforcer les possibilités de formation pour tous les personnels sur les fonctions budgétaires, achats et sur l’évolution des métiers face aux transitions (voir plus bas section “Transformation par les transitions”).
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Poursuivre le développement d’une politique salariale et indemnitaire équitable en s’appuyant sur la cartographie des emplois en cours, entre titulaires et contractuels (primes, responsabilités, intéressement) et entre BIATSS et EC sur certaines missions. Déployer le dispositif de prime d'intéressement qui reconnaît le surcroît d'activité non ponctuel.
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Clarifier l’ensemble des missions d’enseignement de manière à mieux reconnaître la charge de travail réelle dans les temps de service (reconnaissance de la conception pédagogique, de l’encadrement de mémoires…).
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Déployer le plan de la Qualité de Vie au Travail (QVT), mieux faire connaître les avantages sociaux. Mettre en place un contingent de logements d'urgence à la résidence Cassan F pour les personnels. Structurer l'aide et le soutien logistique pour la garde d'enfants lors des missions.
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Mettre en œuvre le Schéma Directeur de la Vie Étudiante (voté le 26 juin 2025 à la CFVU - voir ici) pour améliorer les conditions de vie (emplois étudiants, mobilité, santé, accompagnement social), l’expérience étudiante et faciliter l'accès aux études supérieures (tutorat, mentorat).
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Poursuivre la lutte contre la précarité étudiante (aide sociale, restauration à 1€, maintien des droits d’inscription non différenciés, prise de position nationale). Pour plus d'informations : cliquer ici.
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Poursuivre l'accompagnement du parcours doctoral (Collège Doctoral) en veillant au bien-être et à l'égalité de traitement des doctorantes et des doctorants.
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Lancer un plan spécifique "Santé Mentale" (consultations, prévention, cellules d'écoute) pour les étudiantes, étudiants et personnels.
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Intensifier la lutte contre les VSS et renforcer l’accompagnement du handicap par une politique d'inclusion et de diversité. Poursuivre la création de postes MCF en faveur des Bénéficiaires de l'Obligation d'Emploi.
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Déployer l’observatoire unique de la Formation et de la Vie Étudiante pour une meilleure connaissance de la population étudiante, des parcours de formation et de l’insertion professionnelle.
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Continuer la structuration de l'animation du campus et enrichir l’offre de programmation culturelle, artistique et sportive pour toute la communauté, en s'appuyant sur les dispositifs existants.
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Garantir la pérennité financière de l'établissement par un pilotage stratégique et solidaire, assurant la transparence de l'allocation des ressources de chaque structure (UFR, unités de recherche, départements de formation, services, etc.).
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Poursuivre la dynamique de recherche de ressources propres (ANR, Europe, France 2030, fondation, formation continue, recherche partenariale, cité de l’innovation) en articulant tous les financements, comme cela a déjà été mis en place dans le cadre de l’Alliance Sorbonne Université.
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Poursuivre la dynamique de la Fondation Sorbonne Université en élargissant le réseau de partenaires et en faisant rayonner les missions de l’université auprès des mécènes et de la société.
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Instaurer des mécanismes de mutualisation entre les structures et au sein des structures, et créer un fonds de solidarité alimenté par un système progressif de contributions (coûts indirects) pour soutenir les missions de recherche et de formation.
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Maîtriser les dépenses de l'établissement et préparer l'intégration du budget vert (conformément aux lignes directrices des opérateurs de l'État pour 2026).
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Poursuivre la mobilisation pour défendre l'Enseignement Supérieur et la Recherche (ESR) face aux défis majeurs, en France et en Europe, notamment au travers des réseaux UDICE, France Universités, LERU (League of European Research Universities) : baisse de l'investissement public, menaces sur la liberté académique, hausse de la précarité…
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Continuer à défendre l'indépendance des universités, la liberté académique et la liberté d'expression. Déployer la charte des libertés associatives et syndicales votée en CFVU.
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Renforcer l'articulation entre éthique, intégrité scientifique, déontologie et science ouverte pour promouvoir une science en confiance.
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Pour une université innovante dans la formation et la recherche.
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Encourager la créativité disciplinaire et interdisciplinaire (avec une attention particulière pour les disciplines rares) dans les domaines scientifiques des trois facultés, en respectant leurs spécificités et en alliant connaissance patrimoniale et dynamique d’innovation (cf. Partie 2 - Domaines scientifiques - Pages 42-73 - Projet d'établissement 2025-2029).
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Soutenir l'effort de recherche et d'innovation sur le temps long en s'appuyant sur les dispositifs d'accompagnement existants (instituts, initiatives, plateformes, contrats doctoraux/post-doctoraux, programme Émergence, aide à l'installation des EC…).
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Maintenir la cohérence du continuum Licence-Doctorat (LMD) en lien étroit avec la recherche et l'innovation en accompagnant l’autonomie des étudiantes et étudiants.
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Poursuivre l’intégration des réformes en santé (troisième cycle des études médicales, universitarisation des études paramédicales...).
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Participer à la concertation nationale lancée sur l'évolution de la première année d'accès aux études de santé.
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Mobiliser davantage le Conseil Académique (CAC) pour renforcer le dialogue entre la formation et la recherche, les UFR et les instituts et initiatives.
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Maintenir le programme blanc pour les UFR et le programme de professeurs invités pour accompagner les composantes dans la mise en œuvre du projet SU/ASU.
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Accompagner la transformation pédagogique en veillant à ce que l'intégration des grands enjeux actuels (environnementaux, numériques, internationaux, multilinguisme) se fasse de manière soutenable et soit pleinement reconnue dans les temps de service.
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Poursuivre le développement des formations pluridisciplinaires en assurant le pilotage par le collège de Licence et de Master et tout en renforçant la complémentarité des membres de l’ASU.
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Poursuivre l'individualisation des parcours (majeure, mineure, parcours diversifiés) afin de mieux répondre aux besoins et ambitions des étudiantes et étudiants, citoyens de demain.
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Encourager le développement des parcours de formation à dimension internationale et renforcer l’enseignement des langues, afin de favoriser l’ouverture au monde et de valoriser la diversité culturelle au sein de l’université.
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Renforcer la recherche en pédagogie à l'INSPE et la recherche à Polytech Sorbonne par des initiatives (au sens de l’ASU) pour construire des communautés scientifiques.
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Déployer à toute l’université le diplôme universitaire (DU) engagement pour reconnaître et valoriser l'implication étudiante.
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Développer plus avant les programmes doctoraux internationaux (co-tutelles) pour favoriser l'internationalisation.
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Fluidifier les processus administratifs (RH, achats, sécurité des systèmes d’information, immobilier) grâce au déploiement d'outils mutualisés et adaptés, en formalisant et en partageant les procédures internes.
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Poursuivre le déploiement des outils de gestion communs (ex : SIRH, SIFAC+).
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Fluidifier les relations et les échanges entre les différents niveaux (directions, composantes, laboratoires, etc.).
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Engager une démarche stratégique d'optimisation des ressources et des processus afin de valoriser les expertises, d'améliorer la continuité de service et de renforcer la coopération pour garantir l'efficacité des missions de l'établissement et le bien-être des équipes.
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Mettre en place un processus structuré d'écoute pour recenser les retours des structures sur les difficultés et dysfonctionnements rencontrés (gestion des contrats, RH, achats, immobilier, etc.) et proposer des solutions adaptées à toutes et tous.
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Établir un référentiel partagé de données (études de marché, données fournisseurs, cahier des charges avec les critères environnementaux et sociaux) pour faciliter le travail des acheteurs et mettre en place des modules de formation sur les achats, sur les achats durables, pour tous les personnels concernés.
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Associer à la commission budgétaire existante une Commission d'Audit rattachée au Conseil d'Administration afin d'assurer le contrôle interne des comptes.
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Poursuivre la sécurisation de nos systèmes d'information suite à la cyberattaque pour garantir un appui numérique fiable à l'ensemble des missions (recherche, formation et administration), à intégrer dans le prochain schéma directeur du numérique.
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Renforcer l'accompagnement des porteuses et porteurs de projets, de la phase d’élaboration jusqu’à leur clôture.
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Prioriser les opérations immobilières à lancer sur les deux prochaines années, en ciblant celles déjà engagées, celles liées à la sécurité, celles liées aux engagements contractuels (co-financement) et celles liées à la performance énergétique.
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Diversifier les sources de financement (banque des territoires, programmes européens...) afin de garantir la pérennité et l'ambition de notre politique immobilière.
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Achever les opérations bâtimentaires majeures de l’établissement : réhabilitation de la barre Cassan ABC, rénovation du site Pitié-Salpêtrière de la Faculté de santé, rénovation de l’institut Ibéro-Américain, résidence pour logements étudiants et chercheurs internationaux (Cassan F), IAA/Michelet…
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Poursuivre les discussions avec le Rectorat afin d'obtenir les financements complémentaires nécessaires au projet Censier, dont le budget initial a presque doublé.
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Finaliser l’intégration des collègues de retour de Bondy / IRD et poursuivre la structuration du campus de Saint-Cyr comme pôle de référence dans la transition environnementale, en étroite synergie avec l'INRAE.
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Établir la cartographie d’occupation de tous les espaces sur les différents campus.
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Poursuivre la politique de gratuité des espaces pour les événements organisés par les collèges de SU et le projet d'outil de gestion et de mutualisation des espaces.
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Prendre en charge les problématiques de restauration et d'espaces de vie pour plus de confort sur les campus.
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Poursuivre le projet Restaurant Universitaire / Restaurant administratif qui augmentera très sensiblement les espaces de restauration pour les étudiantes et étudiants.
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Installer de nouveaux lieux de vie et d’échanges accessibles à tous les membres de l’université (étudiantes, étudiants et personnels) comme : à la Cité de l’innovation qui ouvre un espace « rue centrale », une cafétéria, un jardin, et des accès améliorés aux infrastructures sportives ; dans le futur Restaurant Universitaire, sur l’espace RdC de la résidence étudiante ; dans le bâtiment F…
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Poursuivre et amplifier l'intégration des enjeux environnementaux dans toute l’université, dans la recherche et la formation, et porter cet engagement et nos valeurs auprès de nos partenaires.
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Mettre en œuvre le Schéma Directeur du Développement Durable Responsabilité sociétale et environnementale 2025-2028 pour minimiser l'impact et le coût énergétique de nos activités (politique missions et SPASER pour les achats socialement et écologiquement responsables votés en CA). Pour plus d'informations : voir ici.
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Finaliser la base de données du patrimoine bâtimentaire intégrant l'analyse énergétique des bâtiments, un outil essentiel au pilotage de la performance environnementale.
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Articuler l'Intelligence Artificielle et le Développement Durable comme un défi majeur.
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Mettre en place des formations adaptées pour l'ensemble des personnels afin d'intégrer les grandes transitions dans les pratiques professionnelles, notamment en assurant une maîtrise critique et responsable de l'IA et de ses impacts (écologiques, éthiques, cognitifs et sociaux).
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Poursuivre le développement des formations pour les étudiantes et étudiants et les personnels sur la transition écologique et le développement soutenable en partenariat avec les organismes de référence du secteur.
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Affirmer le rôle de l'université comme "tiers de confiance" face à l'IA en garantissant la fiabilité et l'éthique des savoirs.
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Consolider le rôle de SCAI en tant qu'opérateur de la stratégie IA de SU, en assurant le déploiement et l'accompagnement des usages de l'IA au service de la recherche, de la formation et des fonctions support et soutien.
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Mettre en place une infrastructure numérique IA de pointe, incluant une licence globale pour des outils d'IA générative et l'allocation de la puissance de calcul requise (GPU).
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Proposer, au sein de la nouvelle équipe de gouvernance, des vice-présidente et vice-président dédiés à l'IA et au développement durable.
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Pour une université ouverte sur la société.
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Intensifier les partenariats européens et internationaux en soutien aux structures de formation et de recherche (co-tutelles, mobilités).
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S'appuyer sur les accords-cadres institutionnels pérennes, notamment l'Alliance européenne 4EU+.
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Poursuivre le fort engagement européen pour développer des coopérations stratégiques et renforcer la participation aux grands programmes européens (MIFJC à Bruxelles, Commission Européenne, LERU, EUA…).
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Renforcer les partenariats stratégiques (Université Laval, Université de Sydney, UNAM, NTU, Todai, UIR, IIT Delhi, Sèmè City, la Fiocruz au Brésil, Institut Franco-Chinois, etc.) et préparer une feuille de route pour l’Afrique, les États-Unis et l’Amérique du Sud.
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Affirmer une stratégie internationale qui intègre la dimension géopolitique et la diplomatie scientifique.
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Poursuivre la dynamique de développement de Sorbonne Université Abu Dhabi par la croissance de son offre de formation, le renforcement des activités de recherche et l’internationalisation.
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Mobiliser les Alumni de Sorbonne Université pour renforcer la réputation et l'ouverture de l'établissement, le rayonnement international (attirer des talents, diversifier les publics et développer les réseaux pour favoriser l’employabilité des étudiantes et étudiants).
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Mobiliser l'expertise de l'établissement pour contribuer au débat public et influencer les politiques.
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Faciliter la participation des personnels aux instances politiques externes (conseils scientifiques locaux, régionaux, nationaux, internationaux et des Nations Unies, etc.) et garantir la protection fonctionnelle des personnels exposés à des menaces et à des pressions, y compris dans le cadre de coopérations internationales sensibles.
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Capitaliser sur les liens solides existants avec le CNRS, l'INSERM et l'INRIA (centre SU-INRIA) pour consolider nos partenariats stratégiques au sein des unités de recherche, et pour les amplifier dans le cadre de l'Alliance Sorbonne Université (ASU) et avec ses autres membres.
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Consolider les interactions avec les acteurs socio-économiques, culturels et associatifs, les collectivités territoriales et l’AP-HP (GHU AP-HP Sorbonne Université) et l’Hôpital Ophtalmologique National des 15-20.
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Renforcer la recherche partenariale avec les PME-PMI et ETI, en s'appuyant sur les dispositifs CIFRE et Laboratoires Communs (Labcom).
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Finaliser la cartographie des partenariats (notamment via un outil SI-CRM) et déployer la charte des partenariats pour structurer un cadre de travail éthique et transparent, en s’appuyant notamment sur le comité socio-économique (incluant toutes les structures de SU concernées).
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Finaliser la base de données d'expertise (OPEN@SU) pour une meilleure lisibilité des partenariats de recherche et une meilleure valorisation de nos atouts, tant en interne qu’auprès de nos partenaires socio-économiques.
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Porter la valorisation de la recherche (innovation et transferts) en s'appuyant sur des structures dédiées, notamment SUMMIT.
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Bénéficier de l'appui du Pôle Universitaire d’Innovation (PUI) et de la Cité de l'Innovation pour intensifier les recherches partenariales, les transferts d’expertises et renforcer l'insertion professionnelle des étudiantes et des étudiants.
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Accompagner et soutenir l'entrepreneuriat, dans ses différentes formes et pour l’ensemble de la communauté (via la future académie de l'innovation qui structurera les actions dédiées aux personnels et le Pepite étudiants).
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Consolider la « troisième voie » pour la Protection du Patrimoine Scientifique et Technologique (PPST) qui vise à trouver un équilibre entre la protection du patrimoine et la continuité des activités de recherche en étroite collaboration avec les directions d'unités (DU).
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Consolider la stratégie de Science Ouverte et de partage des savoirs par les publications en open access (plateformes dédiées, édition ouverte, bibliothèque numérique patrimoniale, données) et promouvoir une évaluation qualitative de la recherche.
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Soutenir les sciences et recherches participatives (réseau Science Ensemble, MOSAIC) et poursuivre la formation des jeunes chercheuses et chercheurs à la médiation scientifique.
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Pérenniser le soutien aux Alumni comme un levier essentiel d'ouverture.
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Développer et consolider l’offre de Formation Tout au Long de la Vie (FTLV), notamment à travers le projet GOAL@SU et les formations destinées aux décideurs, tout en mettant en œuvre le modèle économique défini pour assurer son développement.
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Pérenniser la politique transversale “Arts, Sciences, Culture et Société", en articulant étroitement ces champs, pour nourrir le dialogue sur les grands enjeux de société auprès de publics diversifiés : grands débats, recherche-création, résidences d'artistes, expositions.
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Renforcer l'ouverture à tous les publics, avec un objectif d'ouverture sociale et territoriale, et en développant activement les dispositifs dédiés tels que l’Université des Enfants et des Adolescents, l’Université inter-âges et l’Université des patients.
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Renforcer la sensibilisation aux sciences auprès des jeunes public par la formation des futurs enseignantes et enseignants via l'INSPE, et également en soutenant les initiatives telles que l'Université des Enfants et des Adolescents, la Maison pour la Science, le musée des mathématiques, ainsi que la médiation tournée vers les jeunes publics.
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Initier un programme ambitieux "Culture & santé" adossé à l'Institut de la santé globale et à l'Université des patients.
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Structurer les dispositifs d'accueil des étudiantes et étudiants internationaux (lancement du Welcome Desk mutualisé, développement de l'offre de logement, soutien linguistique), ainsi que les dispositifs d'accueil des étudiants en danger/exil.
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NOTRE PROFESSION DE FOI
Les 19 et 20 novembre, par votre vote pour les conseils centraux, vous déciderez de la trajectoire que prendra Sorbonne Université.
Forts de l'expérience des quatre dernières années, nous vous proposons de poursuivre ensemble la construction d’une université solidaire, innovante et ouverte. Malgré un contexte de crises successives (covid, inflation, réductions budgétaires, tensions géopolitiques), notre engagement n'a jamais faibli. Notre équipe de 74 candidates et candidats issus de toute l’université, mêlant continuité et renouvellement, incarne cette ambition.
Nos priorités sont le soutien à la formation, à la recherche, à l’ouverture à la société, aux partenariats, à l’international, en lien avec le CNRS, l'INSERM et l’AP-HP notamment, ainsi que l’amélioration des conditions de travail et d’études.
Le projet d’établissement 2025-2029 accorde une place prépondérante à la formation et à la recherche à travers les trajectoires élaborées par les structures de formation et de recherche des trois facultés et pour les différents domaines scientifiques (disciplinaires et interdisciplinaires) de notre université, en garantissant leurs spécificités et en alliant connaissance patrimoniale et dynamique d’innovation. Une importance particulière est donnée au continuum Licence-Master-Doctorat en lien avec la recherche, l'innovation et la diffusion des savoirs. Ce projet d’établissement soulève également la nécessité de relever les défis organisationnels et de pilotage de l’établissement pour restaurer la confiance et la capacité d'agir.
Ces élections sont l'opportunité de donner vie à ce projet d’établissement et de construire l'avenir ensemble.
Nous comptons sur votre mobilisation et votre soutien à la liste Réunis avec Nathalie Drach-Temam lors des élections des 19 et 20 novembre pour une université solidaire, innovante et ouverte.
